Le CNI s'est déclaré dans un communiqué "scandalisé par le peu d'intérêt que suscitent les personnes dont les voitures, les commerces, etc... ont été détruits". Cette caisse d'aide aux victimes serait "financée par les casseurs eux-mêmes", a proposé le CNI: "les individus majeurs condamnés à des dommages et intérêts devront payer, soit par le prélèvement du montant de la pénalité qu'ils encourent, soit par le fruit du travail d'intérêt général". D'autre part, les "parents des délinquants mineurs appréhendés (...) se verront suspendre durant six mois les allocations familiales dont le montant abondera cette caisse", suggère le CNI.
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