À l’appel de l’intersyndicale, ils dénonçaient "le manque de transparence du ministère de l’agriculture" et demandaient l’ouverture de négociations sur la réforme en cours avec les trois cabinets ministériels : Budget, Agriculture et Fonction publique. "Beaucoup de missions ne seront plus assurées et il y aura inévitablement de plus en plus de retard dans le paiement des aides" a déclaré Ludovic Paris (Synpia-CFDT), à propos des 250 postes supprimés. Si les syndicats n’ont pas caché une certaine déception quant à la faible participation à la manifestation, ils attendent le chiffre de la participation à la grève "qui devrait être plus important".
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