"Nous voulons contribuer à une solution mais toutes les études présentées par la Commission européenne montrent que des taux réduits n'aident pas l'emploi", a déclaré M. Grasser lors de son arrivée à une réunion avec ses homologues de l'Eurogroupe. "Il y a plusieurs pays qui continuent de s'y opposer. S'il doit y avoir une solution, cela pourrait être un taux réduit temporaire", a-t-il ajouté. Les ministres des Finances des 25 tenteront une dernière fois mardi de s'entendre sur les services, dont la restauration et le bâtiment, pouvant bénéficier d'un taux réduit de TVA dans l'UE. Selon des diplomates, l'Allemagne détient la clé d'un accord.
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