"Les propositions actuelles de la présidence britannique ne sont pas satisfaisantes du point de vue de la France", a déclaré le président français à l'occasion d'une rencontre informelle avec la chancelière allemande Angela Merkel. "Il est capital que chacun des Etats membres prenne une part équitable du coût de l'élargissement", de l'Union europénne, ce qui suppose un "réaménagement du rabais britannique" qui soit "pérenne", a-t-il dit lors d'une conférence de presse au château de Glienicke, à la frontière entre Berlin et Potsdam. "Nous devons utiliser chaque chance pour arriver à un résultat" de compromis sur le budget, a dit pour sa part Mme Merkel, ajoutant qu'elle ne voulait pas formuler de propositions "trop restrictives".
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