"La présidence britannique vaut un éloge pour son rôle constructif dans cette négociation compliquée et pour le courage qu'elle avait montré en cédant une partie du rabais", a indiqué un communiqué des services de M. Caramanlis citant ses déclarations lors d'une conférence de presse accordée aux journalistes grecs à Bruxelles. Selon l'Agence de presse nationale (Ana, semi-officielle), M. Caramanlis a indiqué que le rôle du Premier ministre britannique, Tony Blair, à la conclusion de cet accord était "particulièrement positif".
M. Blair a concédé une réduction du rabais de son pays pour parvenir à un accord sur le budget européen, qui était un casse-tête pour les 25 pays-membres depuis plusieurs mois. M. Caramanlis s'est également félicité de la somme de 20,1 milliards d'euros dont la Grèce bénéficierait à la suite de cet accord.