Selon l'analyse des juristes de la filière, le retrait d'AMM des deux traitements de semences interdirait à la société de vendre le produit à un semencier pour le marché français, mais n'interdirait pas le semencier de produire une semence traitée au Régent ou au Gaucho à des fins d'exportation dans des pays où ces produits sont autorisés. |
Partager