"La loi française ne respecte pas la flexibilité donnée au niveau européen et s'est transformée en une obligation d'incorporation par filières, ce qui va aggraver le déséquilibre essence/gazole et introduire une distorsion de concurrence aux niveau européen et français", a estimé mardi 15 février le délégué général de l'Ufip, Jean-Louis Schilansky, lors d'une conférence de presse. |
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