"En matière de développement des pays les plus pauvres, l'ouverture des marchés et la libéralisation des échanges agricoles n'ont pas tenu les promesses faites par l'Organisation mondiale du commerce (OMC) et le Fonds monétaire international (FMI). Elles constituent bien souvent une menace pour les paysans. Il s'agit là d'une des causes majeures de la fracture agricole mondiale", affirment Agir Ici, le Comité catholique contre la faim et le développement, le Comité français pour la solidarité internationale et le GRET, dans une lettre commune à Jacques Chirac datée du 31 janvier. |
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