Cette mesure transitoire ne peut être prise avant l’adoption formelle des textes de la réforme convenue en novembre dernier, c’est-à-dire fin février au plus tôt, d’où la nécessité d’avertir les professionnels avant que les semis de betteraves ne soient largement entamés ou décidés. Plusieurs États membres, dont la Pologne, l’Italie et le Portugal, s’insurgent contre les pouvoirs que s’arroge ainsi Bruxelles, tant sur la forme que sur le fond. Selon eux, la baisse des quotas est une décision politique qui est du ressort des Vingt-cinq.
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