Cette baisse, de l’ordre de 2,5 millions de tonnes, sera moins forte pour les pays qui, jusqu’à présent, n’ont que peu ou pas du tout produit de sucre destiné à l’exportation avec restitutions et qui seront le plus touchés par le plan de restructuration. Une modulation très peu appréciée par les États membres les plus compétitifs que sont la France, l’Allemagne, le Danemark et les Pays-Bas.
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