" Nous ne voulons pas d’une future loi scélérate qu’on veut nous imposer sur les OGM ", a déclaré sur le stand du ministère de l’Agriculture, José Bové, ancien porte-parole de la Confédération paysanne. Les manifestants ont martelé que " l’innocuité des OGM pour la santé n’est pas prouvée. " Ils ont invité les députés et sénateurs à lire les études toxicologiques réalisées sur le sujet qu’ils jugent " alarmantes ".
Les Faucheurs volontaires ont appelé à une " forte mobilisation " le 8 avril, date choisie entre l’étude du projet de loi sur le sujet au Sénat (à partir du 21 mars) et son examen à l’Assemblée Nationale. Deux autres rassemblements sont également prévus : " un pique-nique " dans les jardins du Sénat au Palais du Luxembourg le 21 mars et lors du procès en appel, les 15 et 16 mai, des Faucheurs volontaires, relaxés par le tribunal correctionnel d’Orléans le 9 décembre.
