Cette opération, conduite par la Société protectrice des animaux (SPA) de Marseille, dans le cadre des mesures de confinement prises par arrêté préfectoral, a soulevé la colère de l'association "Au petit bonheur des chats" qui estime que la mairie "a pris ce prétexte pour éliminer tous les chats". Tous ces chats sont condamnés à être euthanasiés, car la ville de Port-de-Bouc ne dispose ni de fourrière, ni de refuge, selon cette association qui est à la recherche d'associations susceptibles de recueillir ces chats pendant la période de crise.
Par arrêté préfectoral, les chats comme les oiseaux d'élevage doivent être confinés et les chiens doivent être tenus en laisse, dans la zone de surveillance de 10 km autour du lieu de découverte d'un oiseau sauvage infecté par la grippe aviaire.