Pour l’agriculture, cet accord souffre de nombreuses faiblesses : absence de fonds supplémentaires pour l’intégration de la Roumanie et de la Bulgarie, modulation volontaire des aides directes peu compatible avec les exigences d’une politique commune, diminution des financements pour le développement rural des Quinze, clause de réexamen de l’ensemble du cadre financier de l’UE, des dépenses de la Pac notamment.
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