Non visibles en bordure de champ, les dégradations ont eu lieu sur un tiers de chacune des deux parcelles cultivées par la société Monsanto, a-t-on appris de même source. L'incertitude demeure quant à la date exacte des faits, l'agriculteur propriétaire des terrains ayant découvert les dégâts lundi. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie.
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