Interrogée dimanche soir, la gendarmerie n'était pas en mesure de confirmer cette destruction. Selon le Collectif, le fauchage a mobilisé une quarantaine de volontaires venus de plusieurs départements, notamment du Lot-et-Garonne, du Rhône et du Finistère.
Les militants anti-OGM ont profité de la mobilisation des forces de l'ordre sur le site de Biscarosse (Landes), où se tenait ce week-end une manifestation antinucléaire, pour neutraliser la parcelle de maïs, a précisé le Collectif.