Une large majorité d’États membres s’est prononcée dans ce sens, à l’occasion du Conseil agricole des 24 et 25 octobre, à Luxembourg. Seule l’Allemagne, soutenue par une poignée d’autres pays, souhaite qu’il ne soit que facultatif. En marge de ce débat, Dominique Bussereau, le ministre de l’agriculture français a indiqué qu’il ne voyait pas d’inconvénient à imposer le logo européen, « à condition qu’il n’y ait pas de confusion par exemple avec les labels d’indications géographiques ». Il s’est prononcé en faveur d’un indicateur de provenance, ajouté à ce logo.
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