Des résultats chocs. Elle révèle que 39 % des agriculteurs interrogés pensent réduire leur consommation d’azote (contre 2 % qui pensent l’augmenter) et 32 % pensent réduire leur consommation PK, contre 4 % qui pensent l’augmenter. En termes de relation avec leurs distributeurs, les trois quarts des agriculteurs considèrent être suffisamment informés par leurs distributeurs, mais la moitié pensent que la distribution ne constitue pas le meilleur conseiller en matière de fertilisation.
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