Malgré ses divergences internes, l’Union européenne a accepté d’entamer ces discussions « à la condition qu’elles n’impliquent pas une modification de la législation communautaire ». Un groupe de travail va ainsi être créé au sein du Codex alimentarius. Les discussions ne porteront que sur les OGM illégaux dans le pays de destination, mais autorisés dans le pays d’origine du produit.
Les premiers échanges de ce groupe de travail devraient démarrer dès janvier ou février 2007. À la demande de la France, de l’Italie, du Luxembourg et de la Grèce, les représentants permanents des États membres (Coreper) seront informés régulièrement du progrès des discussions.