« Mon impression d’ensemble est qu’il y a un désir clair et unanime de revenir à la table des négociations et de conclure le cycle », a déclaré Pascal Lamy aux journalistes. « Le défi est de traduire ces signaux de bonne volonté politique en changements concrets, ce qui nécessite des chiffres », a-t-il ajouté. Il a également prévenu qu’un échec créerait des « turbulences politiques qui seraient légitimes », si les discours des pays occidentaux ne se transforment pas en actes.
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