Dans un document expliquant pourquoi ils apportent leur soutien à Vienne, les ministres indiquent que, pour ces deux maïs transgéniques, les évaluations scientifiques menées au cours de la procédure d’autorisation n’ont pas été assez rigoureuses. Des informations supplémentaires sont nécessaires, à leurs yeux, sur les effets secondaires de ces OGM, en particulier sur le développement de résistances chez les insectes. De plus, « les caractéristiques géographiques des différentes régions de l’UE doivent être prises en compte de façon plus systématique dans les études d’impact environnementales », précisent-ils.
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