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Agronomiquement parlant, dès la floraison, elles ont joué leur rôle, et « il n’est plus utile de les maintenir pour limiter les fuites de nitrates ». Selon le conseiller, il est même important de les détruire « pour laisser les pluies reconstituer les réserves hydriques du sol - au-delà de la capacité au champ, celles des nappes - et éviter d’avoir des résidus trop lignifiés et peu décomposés sortie hiver ». Il prévient enfin que « les maintenir inutilement favorise en plus le parasitisme en rotations avec betteraves ou colza ».
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Réduire la dose de glyphosate (Source : message Pita de l'Oise du 2 novembre) Des essais menés par Arvalis ont montré qu’un roulage agressif (type cambridge) dans les deux heures avant traitement permet d’augmenter très nettement l’efficacité du glyphosate avec une efficacité qui passe de 60 % à près de 100 % à 720 g de matière active. Si vous utilisez de l’eau calcaire (réseau ou puits) n’oubliez pas les 100 grammes de sulfate d’ammoniac pour 100 l de bouillie, à mettre avant le glyphosate bien sûr. Le plus radical est d’opter pour le broyage, et le plus économique, sur des couverts encore bien tendres aux premières gelées, est un roulage le plus agressif possible qui, combiné au gel, peut être suffisant pour neutraliser le couvert et permettre le labour. |
