 "Les cumuls de précipitations sur les mois de septembre et doctobre sont globalement déficitaires de 25 à 50%" . (© Terre-net Média) |
Dans la continuité du mois de septembre, le mois d'octobre, qui "s'inscrit parmi les mois doctobre les plus secs des 50 dernières années, sans être pour autant exceptionnel", s'est traduit par un "déficit pluviométrique global de 45%", souligne le Brgm dans un communiqué.
"Les cumuls de précipitations sur les mois de septembre et doctobre sont globalement déficitaires de 25 à 50%" en France, ajoute-t-il. Par rapport au dernier relevé des nappes phréatiques, établi au 1er octobre, "la proportion des niveaux stables (19%) ou en hausse (19%) n'a pas fortement évolué", la grande majorité des niveaux (62%) restant en baisse.
Les rares pluies du début octobre n'ont pas permis d'inverser la tendance à la baisse de nombre de nappes, en particulier dans certaines régions où les niveaux sont déjà inférieurs à la normale (majorité du bassin Seine-Normandie et certains secteurs du bassin Adour-Garonne), souligne l'organisme public chargé de gérer et surveiller les sols et sous-sols. "Les événements pluvieux de fin octobre pourraient traduire prochainement une modification de la tendance à la baisse de la grande majorité des points de suivi", précise toutefois le Brgm.
