 Les ventes de maïs augmentent de 33 millions d’euros, malgré des volumes en baisse de 9 %. (© Terre-net Média) |
Les exportations (1,68 Md d’€) sont en hausse de 468 millions d’euros (+ 38 %) par rapport à février 2012.
Les ventes de blé tendre augmentent de 280 millions d’euros : volumes et prix sont en hausse. La demande reste forte en Algérie, Tunisie, Maroc et Yémen mais aussi pour les pays de l’UE. Les ventes d’orge croissent de 78 millions d’euros, grâce à la fois aux volumes et aux prix. La demande est forte vers les pays de l’UE et les pays tiers. Les ventes de maïs progressent de 33 millions d’euros, malgré des volumes en baisse de 9 % : les prix sont en hausse et les quantités de maïs de semence, faibles en volume mais fortement valorisées, croissent.
Les exportations de pommes de terre augmentent de 32 millions d’euros : si les volumes sont en hausse (+ 14 %), les prix doublent presque. Les exportations de bovins vivants diminuent de 13 millions d’euros, du fait de la baisse des envois vers l’Italie.
 Les exportations de céréales en février 2013. (© Service de la statistique et de la prospective.) |
Les importations de produits bruts (1,02 Md d’€) augmentent de 75 millions d’euros (+ 8 %). Les achats de colza, de soja et de tournesol sont en hausse de 51 millions d’euros, du fait des volumes. Ceux de semences de betteraves à sucre croissent de 34 millions d’euros : les quantités (+ 50 %) et les prix (+ 58 %) augmentent.
Tous produits confondus, l’excédent des échanges agroalimentaires français atteint 1.137 millions d’euros en février 2013, soit une hausse de 298 millions par rapport à février 2012. Avec les pays tiers, l’excédent (640 millions d’euros) progresse de 280 millions par rapport à février 2012.
Avec l’Union européenne, l’excédent (497 millions d’euros) augmente de 18 millions d’euros en glissement annuel. Les importations (+ 3,5 %) progressent de 90 millions d’euros et les exportations (+ 3,5 %) de 108 millions d’euros.
Sur les deux premiers mois de l’année 2013, l’excédent atteint 2.266 millions d’euros et augmente de 661 millions d’euros. L’excédent en produits agricoles bruts progresse fortement, tandis que celui en produits transformés stagne.
