Alors que nous étions encore il y a quelques années le deuxième exportateur mondial de produits agroalimentaires vers la Chine, nous voila rendus au 5 ème rang. Faute d’avoir permis à l’ensemble de la filière de se restructurer, et d’atteindre des tailles critiques, nous perdons chaque jour en compétitivité. Avec le SIAL, salon de l’agroalimentaire à Shanghai, il nous faut se rendre à l’évidence, nous ne sommes plus dans le coup. Alors aidez nos entreprises à conquérir de nouveaux marchés, mais pour cela il ne faut pas alourdir leurs charges par des taxes, ce qui est autant d’argent qui ne va pas dans la prospection commerciale.Les contraintes environnementales sont bien entendu à prendre en compte, sous réserve que nos concurrents en fassent de même.Alors ne chinoisons pas et donnez nous les moyens de conquérir les pays du soleil levant.
Partager