Dans cette publication, les Etats-Unis ont révisé à la baisse l'estimation des stocks de maïs et de soja, mais relevé celles du blé. Le stock mondial de blé est désormais estimé à 182,78 millions de tonnes contre 178,48 le mois dernier principalement en raison d'une récolte meilleure qu'attendue au Canada ainsi que de prévisions corrigées en Australie.
« Dans ce contexte ce sont les cours du blé qui ont subi le plus de pression, alors que les cours du maïs et du soja évoluaient peu hier soir sur Chicago », écrit le cabinet Agritel. Et mercredi après-midi, ils marquaient une pause.
Vers 15h (14h GMT), le blé était stable sur l'échéance janvier à 205,75 euros et en repli de 25 centimes à 202 euros sur l'échéance mars, dans un volume d'échanges d'environ 10.000 lots. La tonne de maïs ne bougeait pas sur l'échéance janvier à 177 euros et perdait 25 centimes sur celle de mars à 117,25 euros. Quelque 800 lots avaient été échangés.
En France, sur le marché de gré à gré, l'ensemble des céréales étaient stables également.
