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Concours Miss et Mister agri Hâte de connaître les lauréats de l'édition 2022 ? C'est par ici...

Vous n'y tenez plus de savoir qui sont Miss et Mister agri 2022 ? Leurs noms viennent d'être dévoilés sur la page Facebook de ce concours, visant à promouvoir les femmes et les hommes qui mettent en valeur l'agriculture. Mais pour les découvrir, il faudra encore patienter un peu et lire l'article !

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Découvrez les Miss et Mister agri 2022, senior et junior, avec leurs 2 dauphins/dauphines


Catégorie Miss agri (> 18 ans)

Miss agri : Marianna, 26 ans, Hautes-Alpes

(©Miss et Mister agri)
 

1ère dauphine : Déborah, 27 ans, Berry

(©Miss et mister agri)
 

2ème dauphine : Océane, 19 ans, Haute-Saône

(©Miss et mister agri)
 

3ème dauphine : Marine, 30 ans, Savoie

(©Miss et mister agri)
 

Catégorie Mister agri (> 18 ans)

Mister agri : Léo, 26 ans, Vendée

(©Miss et mister agri)
 

1er dauphin : Robin, 26 ans, Sarthe

(©Miss et mister agri)
 

2e dauphin : Lucas, 32 ans, Loire

(©Miss et mister agri)
 

3e dauphin : Jérôme, 31 ans, Côte-d'Or

(©Miss et mister agri)
 

Catégorie Miss agri junior (15-17 ans)

Miss agri junior : Pauline, 17 ans, Savoie

(©Miss et mister agri)
 

1ère dauphine : Ninon, 15 ans, Alpes-de-Haute-Provence

(©Miss et mister agri)
 

2ème dauphine : Zoé, 16 ans, Deux-Sèvres

(©Miss et mister agri)
 

3ème dauphine : Amélie, 15 ans, Seine-Maritime

(©Miss et mister agri)
 

Catégorie Mister agri junior (15-17 ans)

Mister agri junior : Sacha,16 ans, Auvergne

(©Miss et mister agri)
 

1er dauphin : Rafael, 16 ans, Gard

(©Miss et mister agri)
 

2ème dauphin : Samuel, 17 ans, Cantal

(©Miss et mister agri)

3ème dauphin : Basile, 16 ans, Aube

(©Miss et mister agri)
 

422 candidats : 190 pour #Miss agri, 119 pour #Mister agri

(catégorie + de 18 ans)

Depuis huit ans, l'élection de Miss et Mister France Agricole, dont Terre-net est partenaire(1), ne cesse de monter en puissance. Pour l'édition 2022, 422 candidats ont postulé aux différents titres : 190 à celui de #Miss agri et 119 à celui de #Mister agri senior, pour les plus de 18 ans, 69 à celui de #Miss agri et 34 à celui de #Mister agri junior, pour les 15-17 ans. Au total, le concours compte 60 participants supplémentaires comparé à l'année dernière.

(1) aux côtés de Provaches, Révolution Race, Mutualia et Les Agricultrices de France.

Le nombre de prétendantes à la "couronne de reine de l'agriculture catégorie adulte" − les résultats du concours étant dévoilés le même soir que la nouvelle Miss France pour le clin d'œil − est passé de près de 70 en 2019 à près de 200 aujourd'hui, 190 exactement, et a donc presque triplé. Pour le représentant masculin du monde agricole − l'objectif de cette opération de communication positive étant de mettre en avant les femmes et les hommes qui y travaillent et le défendent −, les postulants ont, eux, doublé en quatre ans puisqu'ils étaient 56 en 2018 (98 en 2019). Côté ados, la tendance est également à la hausse, mais évolue plus progressivement.

De plus en plus de participants : X 3 pour les Miss (vs 2019) et X 2 pour les Mister (vs 2018)

Cette progression a conduit l'organisatrice Émilie Marin, #Milie Miss agri 2015, à revoir la règle de sélection des finalistes. Jusqu'à présent, étaient retenues les 20 personnes ayant le plus de "likes" sous leur portrait dans chaque catégorie sur la page Facebook Election Miss et Mister France Agricole. « Cette année, ce sera 30 pour les plus de 18 ans afin d'être en cohérence avec l'augmentation du nombre de candidats chez les seniors, explique Émilie. Certains sont très populaires sur les réseaux sociaux, ont des pages Facebook, des chaînes Youtube, des comptes TikTok et Instagram, avec beaucoup de followers, alors cela permet aussi de donner leur chance à ceux qui sont moins connus. »

Autres chiffres marquants : la page Facebook du concours totalise 4,8 millions de vues, 59 000 "J'aime" et 61 000 abonnés, soit 10 000 de plus qu'en 2020, comme chaque année quasiment. Au-delà de cet engouement, que retenir de cette édition ? « Il y a pas mal de nouvelles têtes, ce qui montre que de plus en plus gens connaissent l'élection, même si elle conserve ses adeptes, toujours aussi motivés pour gagner. Océane et Amélie, par exemple, ex-junior concourent cette année dans la catégorie senior. Espérons que cette motivation sera bientôt récompensée. »

Des adeptes, toujours aussi motivés, et de nouvelles têtes.

Que retenir cette année ?

Parmi les évolutions notables : la diversification des profils des participants, qui « reflète celle observée en agriculture actuellement », souligne Émilie Marin . « Si la Normandie et la Bretagne sont bien représentées, j'ai pu repérer de nouvelles régions ou départements, comme le Pays Basque ou la Lozère. Les productions se diversifient également : avant, on avait beaucoup de bovins et caprins. Là, j'ai vu des poules pondeuses, des moutons, des ateliers de transformation/vente directe, voire plus atypiques de chèvres naines ou safran. Certaines de ces activités sont surtout portées par les femmes, très présentes dans ce concours comme de plus en plus dans le secteur agricole. »

Par ailleurs, la moyenne d'âge s'accroît : elle dépasse 30 ans, avec même des personnes de plus de 40 voire 50 ans, et est à l'image de l'installation, de plus en plus tardive, des jeunes agriculteurs/agricultrices. « Ces gens, installés dans le monde agricole depuis plusieurs années, ont de l'expérience pour parler de l'agriculture et de leur métier. Cela montre que les réseaux sociaux s'ouvrent à une tranche d'âge plus large. Mais cela n'enlève rien aux plus jeunes, dont l'envie fait plaisir à voir et qui constituent la relève de demain. »

Bien installés dans le monde agricole, ils ont de l'expérience pour parler d'agriculture.

Les candidats sont plus nombreux à ne pas être issus du milieu agricole et/ou à s'être reconvertis dans ce domaine, après avoir été infirmière, serveur... « Un effet de la pandémie de Covid-19, source de questionnements pour nos vies professionnelle et personnelle ?, s'interroge Émilie. Quoi qu'il en soit, ils sont tout autant passionnés et fiers de leur projet que ceux qui ont repris la ferme familiale, et ils le revendiquent ! Ils ont aussi tout à prouver et ça leur donne la volonté d'y arriver. »

Prouver "qu'on y arriver" et le revendiquer !

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