"Le danger ne concerne que des éventuels faux négatifs (au test de dépistage, ndlr). Lorsque l'enquête a été réalisée en 2001, le dépistage de l'ESB était systématique et les animaux positifs étaient déjà retirés de la chaîne alimentaire. La question ne peut donc se poser que pour d'éventuels animaux qui seraient passés à travers le dépistage : d'après nos estimations ce cas de figure ne pourrait représenter qu'une carcasse par an", a précisé à l'AFP Martin Hirsch, directeur de l'Afssa. |
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