Les sommes en jeu sont relativement faibles, environ 9,5 milliards d'euros sur trois ans. Mais elles doivent permettre un financement progressif d'aides directes aux agriculteurs des 10 nouveaux pays membres, un principe que Berlin refuse d'entériner sans la promesse simultanée d'une réduction des coûts de l'ensemble de la Politique agricole commune (PAC) de l'UE. |
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