"Attac se tourne vers le Président de la République, gardien des libertés publiques, pour qu'il use de son droit de grâce constitutionnel en faveur des condamnés", indique l'association. |
Partager
"Attac se tourne vers le Président de la République, gardien des libertés publiques, pour qu'il use de son droit de grâce constitutionnel en faveur des condamnés", indique l'association. |