Le tribunal, saisi par le préfet des Pyrénées-Atlantiques, a suivi le commissaire du gouvernement qui, lors des débats, le 11 septembre dernier, avait considéré qu'un conseil municipal avait le droit de prendre une délibération pour déplorer la culture de plantes génétiquement modifiées mais qu'il n'était pas fondé à les interdire sur le territoire de sa commune. |
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