"Maintenant, c'est l'incarcération ou la grâce"

"Dans ce courrier, je dis très clairement (au juge Jacques Chauche, ndlr) qu'en l'état, je n'ai aucune proposition à lui faire concernant l'aménagement de ma peine et que c'est donc bien au président de la République de répondre aux 600.000 personnes qui ont demandé ma grâce", a martelé le syndicaliste, joint par téléphone.

"Il n'y a désormais plus de possibilité d'aménagement de ma peine puisque j'ai fermé la porte en refusant de présenter une requête au JAP. Maintenant, c'est l'incarcération ou la grâce, il n'y a pas d'autre alternative", a ajouté José Bové.

José Bové a été condamné à 10 mois de prison ferme après la décision de la Cour d'appel de Montpellier, le 26 février, de révoquer partiellement un sursis hérité d'une condamnation datant de 1998, dans le cadre de la destruction de plantes génétiquement modifiées.


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