Faut-il adopter le désherbage thermique ? Après deux ou trois campagnes d'utilisation, les vignerons qui ont opté pour cette solution ont des avis mitigés. “Je ne sais pas si à terme je trouverai une solution pour une utilisation adéquate de ce système” explique Christian Leperchois, propriétaire d'un domaine de 40 hectares dans le Gard. “C'est un mode de désherbage d'appoint” note pour sa part Gérald Vallée, vigneron de l'appellation Saint-Nicolas-de-Bourgueil (Indre-et-Loire), qui pratique le désherbage thermique uniquement au début du mois d'avril. “A un moment où le travail du sol est encore difficile et où les pousses d'herbe sont jeunes.” |
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