L'agrément du gouvernement pour ces 70 000 tonnes a été obtenu cet automne, précise-t-on chez Proléa. Les 80 000 tonnes annuelles d'autorisation que demande la filière oléagineuse sont motivées par l'abaissement de deux euros par hectolitre de l'avantage fiscal du diester (33 euros par hectolitre pour 2004 au lieu de 35 en 2003) : pour rentrer dans leurs frais, les industries ont besoin d'effets d'échelle. L'abaissement progressif de l'avantage fiscal au fur et à mesure de l'augmentation des capacités des usines était « dans le contrat » passé il y a dix ans entre le gouvernement et les professionnels. |
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