José Bové juge la plainte du Snia «surréaliste»

A l'automne 2000, lors de la découverte d'un cas d'ESB à l'abattoir de Villers Bocage, José Bové avait rendu plusieurs entreprises de nutrition animale responsables de la crise qui s'ensuivit, les accusant d'avoir importé illégalement des farines animales de Grande Bretagne.

Le porte parole de la Confédération paysanne trouve la plainte déposée par le Snia «surréaliste» puisque «les propos concernés étaient de moindre portée que ceux tenus par la Commission parlementaire présidée à l'époque par M. Mattéi».

Il fait par ailleurs remarquer que les entreprises qu'il a citées n'ont pas elles même porté plainte. Yves Montécot, président du Snia, n'a pas souhaité s'exprimer avant le procès.

Par ailleurs, José Bové s'est présenté le 29 janvier devant la cour d'appel de Montpellier pour demander la non-révocation de son sursis de 8 mois de prison ferme pour avoir mélangé des graines de Maïs génétiquement modifié de l'entreprise Novartis. Le verdict sera rendu le 26 février.


Partager
Inscription à notre newsletter

NEWSLETTERS

Newsletters

Soyez informé de toute l'actualité de votre secteur en vous inscrivant gratuitement à nos newsletters

MATÉRIELS D'OCCASIONS

Terre-net Occasions

Plusieurs milliers d'annonces de matériels agricoles d'occasion

OFFRES D'EMPLOIS

Jobagri

Trouvez un emploi, recrutez, formez vous : retrouvez toutes les offres de la filière agricole