"Je suis à nouveau un citoyen libre", a clamé le porte-parole de la Confédération paysanne, en brandissant son bon de sortie devant la maison d'arrêt où l'avaient accompagné ses avocats et sa compagne. José Bové, venu récupérer quelques cartons remplis de courrier, a lancé que son "combat pour la souveraineté alimentaire" allait se poursuivre. "Quand on est syndicaliste, on ne peut pas exclure de retourner en prison", a-t-il ajouté, en réitérant son refus des essais d'OGM en plein champ. |
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