"Alors que les engagements pris à Berlin (en 1999, NDLR) avaient été confirmés, excluant toute modification avant 2006 de la Politique agricole commune, je n'ai pas compris pourquoi à nouveau, avec un entêtement digne des meilleures causes, le commissaire Fischler avait cru devoir, ignorant superbement la décision du Conseil européen, faire de nouvelles propositions qui, naturellement, n'aboutiront pas", a déclaré M. Chirac. |
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