Un négociant renvoyé en correctionnelle

M. Rouabah, également renvoyé pour "contrefaçon de marque", est soupçonné d'avoir vendu des bouteilles de Château Margaux et Château Lafite 1900 dont une partie au moins s'est révélée, après expertise scientifique, correspondre à des vins des années 60.

Interrogé par l'AFP, l'un de ses avocats, Me Emmanuel Marsigny, a indiqué que son client contestait "formellement" les faits qui lui sont reprochés.

"M. Rouabbah a reconditionné des vieux vins selon les méthodes utilisées dans le bordelais. Il n'y a aucune escroquerie", a-t-il affirmé.


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