"On est plutôt en phase avec le Premier ministre mais on lui a redit combien on comptait sur le gouvernement pour obtenir le soutien d'autres pays européens" contre les "propositions dangereuses et inacceptables" de l'OMC, a-t-il déclaré à l'issue d'un entretien de plus d'une heure à Matignon. Mercredi, le président Jacques Chirac a jugé "inacceptable en l'état" ce compromis, qui propose d'éliminer les subventions versées aux exportations agricoles pour relancer les négociations multilatérales du cycle de Doha avant l'échéance de fin juillet. |
Partager