Le propriétaire, la société Biotech, ne s'est aperçue de cette action qu'au bout de quarante-huit heures, car les 2.000 m2 de culture qui ont été fauchés, dont les OGM visés, étaient situés au sein d'un champ plus vaste, non visibles de la route, a-t-on appris de source proche de l'enquête. L'action a été revendiquée mardi par un appel anonyme auprès du quotidien La Dépêche du Midi "au nom d'un collectif", rapporte le quotidien mercredi. |
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