Dans un communiqué, la FNSEA accuse une partie des distributeurs de refuser d'appliquer les conditions demandées par le ministère, à savoir de fixer des prix d'achat supérieurs au coût de revient, et d'autre part de bloquer ses marges lorsque le prix descend trop bas, pour que le consommateur profite de la baisse et soit incité à acheter davantage. Tomates, melons, pêches et nectarines sont victimes d'une surproduction et de la concurrence étrangère, qui ont fait s'écrouler les prix d'achat aux producteurs depuis le début de la saison. |
Partager