"Je me rendrai à la gendarmerie, j'assume ce que j'ai fait, c'est-à-dire arracher un pied de maïs", a déclaré José Bové à l'AFP. "La justice ne veut pas reconnaître le fait collectif de cette action puisque nous étions 1.500 et qu'il y a seulement une dizaine de personnes qui ont été entendues jusqu'à maintenant", a ajouté l'ancien porte-parole de la Confédération paysanne. |
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