Le journal cite la lettre d'un haut responsable du ministère de l'Agriculture, Andres Oopkaup, soulignant que les importateurs estoniens de bananes étaient trop petits pour pouvoir imposer un prix au fruit. En vertu de la réglementation de l'UE, seule une firme réalisant un chiffre d'affaires de 250 000 euros annuels peu imposer des quotas. |
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