La société, basée à Saint-Mars-la-Jaille (Loire-Atlantique), avait été mise en cause par plusieurs salariés portugais, recrutés par une antenne du GID à Candé (Maine-et-Loire) et qui avaient témoigné mardi de leurs conditions de travail dans les abattoirs de la société. Travaillant au désossage et au décrochage de carcasses de porcs, ils ont évoqué des conditions pénibles, des horaires pouvant aller de 5h00 à 21h00, parfois sous les coups et les insultes, avec un salaire nettement inférieur à ce qui leur avait été promis. |
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