Dans son rapport 2003 publié mercredi, la Cour relève "une absence de vision stratégique de l'Oniflhor dans la mise en oeuvre à l'échelon national des aides communautaires et nationales, un grave manque de rigueur dans la gestion des aides, et des défaillances dans le contrôle et l'évaluation des résultats" qui font ainsi peser une "incertitude sur l'efficacité économique" de l'office. |
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