"La gestion de l'étiage démarre plus tôt que les années antérieures, avec deux à trois semaines d'avance pour les bassins les plus sensibles", a expliqué à l'AFP Philippe Bonneau, directeur de la Direction départementale de l'agriculture et de la forêt. Selon lui, "la situation est préoccupante" et les mesures de restriction de prélèvements touchent un nombre de communes plus important que l'an dernier, soit plus de 200 communes sur les 404 que compte le département de la Charente. |
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