"Cet accord est une chance, car pour une fois en France, on essaie d'avancer ensemble sans désigner des adversaires", a-t-il affirmé. "Cela fait des années que ceux qui étaient autour de la table ne se parlaient pas, que les prix augmentent, que les petits commerces de centre-ville disparaissent et que les producteurs agricoles à juste titre se sentent menacés", a-t-il rappelé lors des questions au gouvernement. M. Sarkozy répondait au député UMP Jacques Bobe (Charente) qui, reconnaissant que l'accord conclu le 17 juin était "un premier pas", soulignait qu'il ne résolvait "pas le grave problème des marges arrière aux dépens du petit commerce, des PME et du monde agricole". |
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