"Après avoir supprimé des postes de surveillants, après avoir pleuré des mois sur le déficit de l'assurance maladie, ils osent utiliser des prétextes grossiers pour céder aux pressions des lobbies industriels", dénonce le SMG dans un communiqué. "Les argumentations et les propositions d'amendements (des sénateurs) sont un quasi aveu de leur dépendance vis-à-vis de l'industrie alimentaire", ajoute le SMG. |
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