"J'espère que des solutions seront trouvées par compréhension mutuelle et par accord entre tous les partenaires (producteurs et distributeurs) qui ont intérêt à discuter ensemble et à s'entendre. Si cela ne devait pas être le cas, le gouvernement prendra ses responsabilités. C'est une affaire de quelques jours", a affirmé M. Sarkozy. "Les discussions (entre les professionnels) continuent aujourd'hui. Si l'accord n'a pas été signé, je prendrai d'autres initiatives (...) Les textes prévoient que le ministre peut fixer par décret un certain nombre de prix minimum. Nous n'en sommes pas encore là, en tout cas, la législation existe", a-t-il argué. |
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