"On protégera les laboratoires au sens large du terme, c'est-à-dire en plein air, sous serre, et sous abri", a déclaré M. d'Aubert lors d'un point presse à à l'issue d'une visite de l'Unité d'amélioration et santé des plantes du centre INRA de Clermont-Ferrand. "C'est une question de protection d'un bien public qui, puisqu'il s'agit de recherche, est encore plus précieux qu'un bien ordinaire", a estimé M. d'Aubert. "Ce qui est logique, c'est que des moyens juridiques soient engagés pour empêcher des saccages, avec des plaintes, et que d'autre part il y ait un maximum de protection qui soit accordé sur les lieux", a-t-il ajouté. En cas de "menaces sévères", "les mesures adéquates seront prises par les pouvoirs publics", a-t-il affirmé en qualifiant de "vandales" les faucheurs de maïs transgénique. |
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