"Après le deuil, la colère demeure", affirme l'intersyndicale, dans un communiqué. "Colère, parce que la majorité des médias ont traité de cet odieux assassinat comme un vulgaire fait divers dont il fallait vite tourner la page. Colère, parce que nos ministres n'ont pas su ou pas voulu dénoncer publiquement ces assassinats et réaffirmer la légitimité des missions de contrôle de l'ordre public social dont nous sommes investis", selon le communiqué. |
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